L’hôtel KEMPINSKI PALACE a abrité ce Mercredi 13 novembre 2024, la 10eme Assemblée Générale du Conseil Régional de Formation des Institutions Supérieures de Contrôle des Finances Publiques de l’Afrique Francophone Subsaharienne (CREFIAF).
Placée sous la houlette du Ministre de la Justice et des Affaires Pénitentiaires chargé des Droits de l’Homme M. Ali Hassan Bahdon, la cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence du Premier président de la Cour des Comptes de la République Démocratique de Congo et président en exercice du CREFIAF Monsieur Jimmy MUNGANGA NGWAKA ainsi que la Première Présidente de la Cour des comptes de Djibouti, Madame Ismahan MAHAMOUD IBRAHIM, le Procureur Général de la République de Djibouti, Monsieur Djama SOULEIMAN, les chefs des institutions judiciaires du pays, des parlementaires ainsi que les délégués de plusieurs pays membres du CREFIAF.
Dans son mot de bienvenue, la Première Présidente de la Cour des comptes s’est réjouie de l’honneur pour la république de Djibouti d’accueillir pour la première fois les assises du CREFIAF. Elle a insisté par ailleurs sur le rôle primordial que jouent les institutions supérieures de contrôle dans le processus de bonne gouvernance, notamment dans la bonne gestion des deniers publiques.


Monsieur Jimmy MUNGANGA NGWAKA, Président en exercice Premier président de la Cour des Comptes de la République Démocratique de Congo a fait observer que La présente Assemblée Générale n’aura donc pas le format de la précédente car a-t-il dit : «elle place au cœur de nos échanges un sujet d’une importance capitale qui ne manquera pas d’avoir un impact significatif sur l’ensemble de nos actions, à savoir : la définition du nouveau cadre stratégique pour les six (06) prochaines années.
Il s’agit donc d’un tournant majeur dans la vie de notre Organisation. » M. Ali Hassan Bahdon, Ministre de la Justice, des affaires Pénitentiaires, chargé des Droits de l’homme a profité de cette tribune devant les ISC du CREFIAF pour exposer la politique du gouvernement djiboutien face aux enjeux de la problématique de la bonne gouvernance. Et ce à travers la cour des comptes, juridiction financière chargée de mettre en application la politique de bonne gestion des finances publiques.

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